Tu as mis sur moi tu sais Un peu de lumière Tu m'as offert en secret Tout un univers Et les heures ont beau passer Tu restes à me plaire N'oublie jamais, jamais Que tu es ma chère
Je cherche à connaître L'état d'âme de ton être J'en f'rai disparaître L'air du drame qui s'entête
A te faire mourir de peur Et à te voler ton cœur
Quelques heures que je compose Dans tes veines une overdose Flot d'Eden sans ecchymose J'en fais ma prose
Quelques heures où je dépose De torpeur ces quelques roses Louanges et mœurs En sont la cause J'en fais ma prose Quel que soit le mal Qui m'abat, qui me râle Pour toi avec calme Mon émoi sera fatal
Jusqu'à te donner l'envie De goûter mon paradis
Quelques heures que je compose Dans tes veines une overdose Flot d'Eden sans ecchymose J'en fais ma prose
Quelques heures où je dépose De torpeur ces quelques roses Louanges et mœurs En sont la cause J'en fais ma prose Tu as mis sur moi tu sais Un peu de lumière Tu m'as offert en secret Tout un univers Et les heures ont beau passer Tu restes à me plaire N'oublie jamais, jamais Que tu es ma chère
Quelques heures que je compose Dans tes veines une overdose Flot d'Eden sans ecchymose J'en fais ma prose
Quelques heures où je dépose De torpeur ces quelques roses Louanges et mœurs En sont la cause J'en fais ma prose.