Combien de temps que je l'attendrai Ce fils du ciel Combien de temps que je l'attendrai Combien de temps que je l'attendrai Ce fils du ciel Ce fils du ciel Combien de temps que je l'attendrai Ce fils du ciel
Je suis assis sur la montagne J'ai pris le chemin des fous, des braves J'ai laissé ce que je connais dеrrière moi Lavé mes mains - l'eau était blеu roi Puis le soleil m'a dit devant toi Il y a le ciel les étoiles pour toi Et l'herbe fraîche et le hasard des gens Et le sexe auquel tu penses tout le temps Jusqu'à ce que quand ta coupe pleine De ces plaisirs de la terre souveraine Tu te souviendras que ton cœur n'attend Que ton autre, ton âme, ton serment (Souverain) Je ne suis pas, pas de ce monde Je ne réfléchis pas comme vos « secondes » Je n'aime pas quand ils tempèrent Je ne laisse pas tomber par terre J'ai le cœur grand comme ma conscience Qui va des âges des impatiences Oh oui, j'ai toujours été impatient D'utiliser sabre contre le vent De tester ma limite, bord animal De tester mon viking, tester mon calme Oh oui, je ne suis pas de Ceux qui vous mentiraient Ma gente dame, j'ai juré à terre Oh oui, j'ai juré, le genou à terre Que je ne me battrai que pour la lumière Il n'y a que votre regard qui comprenne Oh, tiens-moi fort, montre moi qui Combien de temps que je l'attendrai Ce fils du ciel Combien de temps que je l'attendrai Ce fils du ciel
À la nuit noire je fais des soleils À l'or qui pleure, j'en fais or qui veille À mes chansons j'en fais des serments Des portes magiques vers l'entendement Mais mon soleil, c'est ma lumière Ma mélodie l'émotion première Que je retrouve quand je te tiens là Vraiment serré, serré contre moi J'ai besoin d'aimer comme on respire J'ai besoin d'aimer car telle est ma vie Chevalier Lancelot, ébahi Par les fleurs semées sur les chemins verts Je m'en vais battre pour la lumière Pour cette femme qui hante mes rêves Oh, je veux son plaisir et sa lumière Oh, je veux sa peau offerte à la terre Oh, je veux la nature qui chante son âme Oh, je veux le ciel de toutes les âmes Qui se déverse contre ses lèvres Je n'ai plus besoin de quelqu'un d'autre, fièvre Qui me prendra à travers les âges Madame, j'ai le genou posé en hommage Madame, je vous donne mon épée Madame, faites-en ce que vous voulez Faites-moi une entaille près de la gorge Montrez-moi à quel point, oh, je me gorge de votre soleil Je me gorge, oh-oh, oh-oh, oh Oh-oh-oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh, oh-oh-oh-oh Oh-oh-oh-oh-oh-oh
Et dans mon rêve, j'étais sur la rivière Et tu m'attendais de l'autre côté J'avais pris le bateau du pécheur Et l'eau était d'un gris ténu Je me suis senti abandonné Avant de comprendre que tu souriais À travers les vagues, près du bateau Qui lèchent la coque, le matin tôt