La terre saigne depuis la nuit des temps De grandes misères et de guerres souvent Et pour chaque soldat qui rentre, une femme attend Les hommes, les pires et les tout-puissants Les pires bourreaux et même Adolf vivant Avaient tous au moins une femme qui les aimait tant
Quand c'est pas une soeur, c'est une mère qui aime Et quand c'est pas la mère , c'est l'épouse qui aime Et quand c'est pas l'épouse, c'est une autre femme Ou une maîtresse qui espère alors
{Refrain:} Si c'est vrai qu'elles nous pardonnent tout Si c'est vrai qu'elles nous aiment malgré tout Si c'est vrai qu'elles donnent aux hommes le jour Moi je dis, que le bon Dieu est une femme
Nos mères paient depuis la nuit des temps Depuis l'histoire de la pomme d'Adam Elles portent les maux et les torts du monde, tout leur vivant Le ciel bénisse la femme qui aime encore Un infidèle jusqu'a la mort Faut être Dieu pour être trahis et aimer plus fort
Quand c'est pas une soeur, c'est une mère qui aime Et quand c'est pas la mère , c'est l'épouse qui aime Et quand c'est pas l'épouse, c'est une autre femme Ou une maîtresse qui espère alors
{au Refrain}
Si l'or du monde était dans la main d'une femme On lui ferait la cour pour l'avoir Imagine les hommes s'ils n'avaient qu'à chanter l'amour pour avoir
{au Refrain, x2}
Compositor: Corneille Nyungura (Corneille) ECAD: Obra #2047449