Messagers d’Avalon et suffrage des sylphes II fait marche un orage aux pieds de Babylone La saxifrage et l’or noircis comme le suif Il fait marche un orage aux pieds de Babylone Portes ouvertes, la cage, ton âme saoulée de kif Lève l’arche, le sage, dans chacun de tes ‘rones .
Nous, ça chante jusqu’à l’os sous l’écorce céltique Sept fois hermanitos d’une forêt magique Par le sort jetés de la lointaine Afrique Filés mauvais coton pour la folle Amérique Fils d’un déluge ancien et d’une île atlantique Où est donc le vin des souvenirs atroces ?
Celui qui se brûle, celle couleur azul Aux lèvres des pendules se tarissent les foules Celui qui trouve, celle aux cauris d’ivoire Llama a la duende para te aliviar ...
Mekench Mouchkil, il n’y a pas de problème Les temps sont difficiles depuis Mathusalem Mekench Mouchkil, il n’y a pas de problème Des jeux de ruse habiles habillent Jérusalem
Salam Haleikoum, allume avant qu’ça fasse boum Salam Haleikoum, or they will get you pretty soon Salam Haleikoum, l’essence du sens de cette toune Salam Haleikoum, Salam Haleikoum
Ça l’âme a le courage de tourner la page Salamalècs et coups bas ne sont que de passage Ça l’âme a le courage de passer outre la rage Salamalècs et coups bas ne font que des carnages ...
Nous, les épices maures, au levain du désert Graver un nevermore sur les jours de colère Fumer le narguilé avec les assassins Sur l’arbre sycomore fin de la poudrière
Nous, tous les noms de neige; nous tous les noms du vent Une source oubliée par quelque sortilège Sous le figuier de lait, la siddhi nous attend Nous, tous les noms de neige; nous tous les noms du vent
“L’homme descend du songe”, la douleur qui le ronge C’est de ne pas savoir, comment l’bonheur se prolonge (x2)
Nous, tambours battants et chevaux écumants La soif de l’argile, la douleur de l’exil Somos el fuego gitan, sous la Lune sans bride La musique qui tend une main vers l’abîme
Nous, la plaine immense sous l’aile du corbeau La blessure qui lance, le souffle du bardhô La fumée de l’encens sur le feu de la guerre Les cristaux arythmant le corps de la rivière
El suelo abuelo, la flore stellée d’abeilles Celle qui écoute l’eau, celui qui se réveille Et tous ceux qui se taisent, rumeur électrique Et tout le sang qui pèse sur la game du fric
Mekench Mouchkil, il n’y a pas de problème Les temps sont difficiles depuis Mathusalem Mekench Mouchkil, il n’y a pas de problème Des jeux de ruse habiles habillent Jérusalem
Salam Haleikoum, allume avant qu’ça fasse boum Salam Haleikoum, or they will get you pretty soon Salam Haleikoum, l’essence du sens de cette toune Salam Haleikoum, Salam Haleikoum
Il y a un secret, il vient du fond des âges C’est un bandit lâché sur le chemin du sage (bis)