entends-tu le chant des morts et ce pavé battu cent fois le poing fermé jusqu'à s'en briser les doigts tu sais quand la vie elle vous dévore quand la vie elle vous dévore il n'y a plus que ça
entends-tu le cri dehors et l'amour scandé cent fois le chant des vaux-riens,des renégats et le sang qui prolifére qui donne son sein aux libertaires contre les rires et les renvois contre les rires et les renvois
hasta siempre camarade hasta siempre camarade ne m'oublie pas
contre l'horreur qui raisonne sous les sourdines des candidats crier de l'hymne jusqu'à s'en briser la voix il ya ce cri qui prolifére c'est du sourire sans riviéres contre les rires et les renvois
hasta siempre camarade hasta siempre camarade ne m'oublie pas