Sud américaines Au fin fond des favela Et qui portent a 15 ans a peine Leurs enfants à bout de bras Aux femmes africaines Dont rien ne gâche la joie Qui plante dans la terre une graine Qui jamais ne pousseras.
Elles ont en elles comme un don Qui force le respects Qui force le pardon
Révoltés indiennes Sur les traces d'indira Bien plus loin les mots vous emmènes Que toutes les armes de combats
Merci d'être Ce qu'on n'sera jamais Et pourtant on se croit parfait Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Non c'est pas les hommes qui mènent le monde Merci d'être Ce qu'on n'fera jamais Et de nous aimer tel qu'on est Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Non c'est pas les hommes qui mènent le monde
Aux malaisiennes Mais l'école n'est pas pour toi Pourtant tu demeure la gardienne De nos fils qui font la loi Et tellement d'autres terriennes A qui on laisse pas le choix Et que ma paroles reste veine Si je veux donner ma voix
Elles font des preuve d'abandon Qui force le respect Qui force le pardon
Merci d'être Ce qu'on n'sera jamais Et pourtant on se croit parfait Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Non c'est pas les hommes qui mènent le monde Merci d'être Ce qu'on n'fera jamais Et de nous aimer tel qu'on est Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Non c'est pas les hommes qui mènent le monde
Ce qu'on n'fera jamais Et de nous aimer tel qu'on est Ce qu'on n'sera jamais Et pourtant on se croit parfait
Merci d'être Ce qu'on n'sera jamais Et pourtant on se croit parfait Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Non c'est pas les hommes qui mènent le monde Merci d'être Ce qu'on n'fera jamais Et de nous aimer tel qu'on est Mais c'est pas les hommes qui mènent le monde Non c'est pas les hommes qui mènent le monde