Moi, le dernier fils des glorieux barons Ungern von Sternberg Commandant la dernière unité Blanche contre les Rouges J'ai pris Ourga, capitale des Mongols, pour libérer le Bouddha vivant Mais je sais que je n'aurai pas le temps de mettre à mon doigt Le rubis légendaire orné du svastika Que portaient à la main droite Gengis et Kublaï Khan
Je suis le souffle du karma vengeur, soldat de la science sacrée Je suis le dernier chevalier, qui ne connaît ni pardon ni pitié Je suis le dieu incarné de la guerre, au service du Bouddha vivant Je suis le seul encore debout, et je n'attends plus que la mort
Mes ancêtres ont porté le fer et le feu partout où ils devaient De Jérusalem à la mer Baltique, pour l'honneur et la fidélité A mon tour je mène le combat contre la vermine bolchévique Avec mon armée de cosaques et de cavaliers paysans Pour préserver la tradition bouddhique à travers l'Asie Menacée de mort par les ennemis de la civilisation
" Du Nord est venu un guerrier blanc qui appela les Mongols, Les aidant à briser leurs chaînes d'esclavage, Qui tombèrent sur notre sol délivré. Ce guerrier blanc était Gengis Khan réincarné. Il a prédit la venue du plus grand de tous les Mongols, Qui répandra la belle foi de Bouddha, la gloire et la puissance Des descendants de Gengis, d'Ugudaï et de Kublaï Khan. Et ce temps viendra ! "