12 décembre 91, date fatidique pour toi les choses ont changé Quand dans les bras de la fatalité ton frère s'est rangé Comme tu me le dis c'était écrit ce jour ou il vous a quitté On croise sa destinée par des chemins qu'on ne peut pas éviter Habiter par l'austérité, la douleur que tu détiens Je sais que tu meurs autant de fois que tu perds l'un des tiens Aujourd'hui je retiens ces larmes pesantes et tragiques Qui traduisent ces moments névralgiques nostalgiques Amnésique, tu aimerais l'être qaund tu repenses à cette fois Ou tu l'as emmené avec toi, qu'il est tombé dans le coma A qui la faute dis moi sur ta propre culpabilité tu déplores Sache que la force de l'âme est préférable à la beauté des pleurs J'instaure ces pensées pour atténuer ce mal de vivre es mots délivrent la la mort et que la flamme ravive si j'arrive rien qu'une seconde à cicatriser cette blessure J'en serais fière et ravie, oublie cette voix qui te suscurre...
{Refrain} c'était écrit, tu m'as laissé seul tu sais Regarde autour de toi tous ceux qui t'aiment je sais que tu saignes La mort est une étape une épreuve un combat Mais aujourd'hui ma douleur n'a pas changé Pense à tous ceux qui sont restés, ne pense plus au passé Même si tu ne pourras jamais le remplacer
J'aimerais te voir rire plus souvent Plutôt que de te savoir dans ces souvenirs souffrant Ma sincérité s'ouvrant au nom de otre amitié Il faut que tu n'oublies pas autour de toi de toi tous ceux qui sont restés Garde une pensée omniprésente pour ton frère Mais soucie toi également de ton autre frère si tu ne veux pas le perdre Lui aussi s'est senti seul pour finir emprisonné Cette épreuve doit te renforcer, et non t'empoisonner L'avenir doit te raisonner, il faut apprendre à construire Ne laisse pas le passé te détruire même si tes proches conspirent Même si ton père te le reproche les mots dépassent ses pensées Parce que le décès de son fils dans son esprit est séquencé J'veux pas t'offenser, jsute voir sur son visage couler Des larmes de joie, non des larmes de tristesse Sans te voir t'écrouler, revivre à chaque instant cette fraternité écrouée Ces sentiments éprouvés...
{Refrain}
oh Hischam, Dieu ait ton âme, mon frère....
C'est comme perdre sa moitié perdre une partie de soi Des fois tu voudrais partir le rejoindre tu revois Chaque année, chaque jour, chaque seconde sa présence Essaie de vivre avec car la vie continue hélas... Prends ça comme un témoignage de mon amitié Comme une ouverture de mon coeur que ta peine ne prenne plus d'envergure Rien n'est plus fort que l'amour pour vaincre même l'amour Ne t'abats pas sur ton sort, c'est la meilleure façon pour que tu l'honores
Tous les rêves que nous avions fait Ce jour là se sont envolés Tu m'as laissé seul, désemparé Mon frère, t'aurais jamais du me quitté...